Les pièces de Sandrine Tonnelier confrontent, entrechoquent le mystère et le familier.
Chaque pièce semble être comme un petit théâtre architectural où les lignes tranchantes, les formes sinueuses se jouent des couleurs, et de la lumière.
Les pleins, et les déliés dialoguent avec les vides posant ainsi la céramique sur le seuil d’un intérieur et d’un extérieur graphiquement construits.
Les collages de Charlotte Hodes sont autant de petites histoires qui se construisent entre dessin et collage, nous suivons de scénette en scénette une silhouette féminine délicate.
Au détour d’une forme découpée, on croise un motif, une dentelle, un profil nu ou d’un habit historique. Le motif s’illustre dans une histoire atemporelle.
Photographies © Gaetane Girard